lundi 9 mai 2011

ÉPIDÉMIE DE DISPARITIONS D'ÉLUES

Après la mystérieuse disparition de Ruth Ellen Brosseau, l'élue fédérale canadienne, voici que l'histoire se répète au sud de notre frontière.

Depuis le 6 mai 2011, le journal ultraorthodoxe hassidique Der Tzitung (Le Journal) a discrètement révélé la disparition de la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton au moment même où le commando d'élite donnait la charge contre la forteresse où était réfugié Oussama Ben Laden.

Le NPD et la CIA se perdent en conjectures.





Lisez l'histoire en cliquant ICI. Vous comprendrez que certains journaux ultraorthodoxes ne publient jamais les photographies de femmes, car elles pourraient être "sexuellement suggestives
"
. De plus, ce serait leur donner trop de pouvoir. On est en quelle année, déjà?

Une deuxième publication hassidique a reproduit la même image tronquée. Cette fois, ce n'est pas au fin fond de Jérusalem, que cela s'est produit, mais bien à New York. Il s'agit du magazine De Voch (La Semaine). Avouez que ça se rapproche drôlement de nous! À quand la disparition de la très lubrique statue de la Liberté?







C'est Hillary qui va aimer apprendre qu'elle est un Sex Symbol.

Si vous êtes fins observateurs, vous remarquerez qu'une deuxième femme dans l'entourage du président s'est aussi volatilisée
. Il s'agit de Audrey Tomason, membre de l'équipe de la Sécurité Nationale.

Cliquer sur la photo pour zoomer






Quand vous aurez terminé de lire ça, citoyennes, ouvrez grand vos sacoches!
Il faudra que vous payiez 40,000$ pour le référendum que veut tenir Projet Montréal le mois prochain sur le Plateau.

Heureusement, c'est pour une noble cause: donner une autre chance aux promoteurs ultraorthodoxes hassidiques d'agrandir leur synagogue du 5363 Hutchison, une rue strictement résidentielle. Les dirigeants de la secte n'ont pas encore digéré qu'on leur ait refusé de percer une deuxième porte en façade pour régler le problème de concupiscence qu'ils ont à la vue d'une femme.

En attendant de faire fléchir les autorités municipales, cliquez ici pour voir comment ils s'arrangent avec la ségrégation des sexes.

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